Au début de désespoir de la nuit
Que, de par sa clarté la lune nous garde de révéllai
Silencieuse et douce comme la brise....
Glissant lentement sur ces monts soyeux...
Chevauchant l'imaginaire...
transperçant la folie du réel...
Elle fit éclaté en morceaux
Ce miroir obscur si bien dressé...

Mille débris d'espoir ce déversèrent alors
dans une pluie fine et étincelante
Rompant le charme glacé de ma dame
Laissant place a cette perle redoutai de tous
Que l'on finirai par oublié.
Petite fée des vents...
Petite fée du printemps...
Reviens, la noirceur de l'hiver va finir par me tuer...

Je chanterai ta vie
Sous la pluie, sous le vent de la nuit
Pour que malgrés l'été, malgrès l'hiver
Dans les coeurs de tous tu reste gravé a jamais....
Et que de ta monture, je puisse voir,
Ne serai ce que l'once d'une couleur...
Et retrouve la liberté !